Eugénie et Aristide sont des personnages de fiction, toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé ne pourrait être qu'une coïncidence.​
Les personnes réelles qui les font vivre sont totalement libres et bénévoles, elles ne dépendent d'aucune structure ou association, NE SONT PAS FINANCEES et ne sont pas inscrites sur aucun registre.

À noter que nous sommes un véritable couple dans la vraie vie d'aujourd'hui, que nous faisons cela de notre plein gré, librement et sans aucune contrepartie. Nous tenons à rester indépendants, libres de nos décisions de nous rendre ou non sur une manifestation ou un lieu (y compris sur invitation) et de nous costumer ou non. Nous ne sommes pas contre le fait de rencontrer d'autres passionnés (de costumes en général ou de la Belle Époque en particulier) mais nous ne souhaitons pas ni former ni intégrer une association. Nous apprécions énormément d'être pris en photo lors de nos sorties et plus encore que les photographes nous les fassent parvenir ! En effet, nous ne pouvons nous photographier nous-même et les seuls souvenirs que nous ayons sont les photos que l'on nous donne... et cela permet d'alimenter ce site web ainsi que les réseaux sociaux.



Cookies et autres pistages :
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En effet, nous n'avons aucune utilité à conserver quelque information que ce soit sur nos visiteurs, sauf s'ils nous contactent expressément par mail, par Messenger ou autre moyen évidemment.
Enfin, les moteurs de recherche et les réseaux sociaux (qui n'existaient pas sous la forme informatique à l'époque d'Eugénie et Aristide) ne sont pas avares de pistages en tous genres, tenez-vous le pour dit ! À l'époque on appelait ça des "mouchards" ou "délateurs" et, soit-on se cachait très bien pour les éviter, soit au contraire on aimait beaucoup se montrer à tout le monde ; c'était selon ce que l'on avait à divulguer ou pas, selon ce que l'on avait envie de montrer ou pas...
Il était d'usage que le bourgeois étale sa réussite (argent, bijoux, vêtements, maîtresse*) au grand jour ; cependant certains préféraient tout de même jouer la discrétion. 
*Monsieur aimait à se pavaner avec sa maîtresse, cela signifiait qu'il avait les moyens pour l'entretenir, dans tous les sens du terme...